Il revient en poche, mais d’une façon totalement inattendue. Lorsque j’ai lu sur la couverture revu et corrigé par l’auteur, j’ai tiqué ! Coup de pub ? Alors j’ai envoyé un mail à l’auteur Eli Anderson. Et comme c’est un Monsieur comme on en fait plus, totalement disponible et d’une gentillesse rare dans ce monde de brute, j’ai eu par retour de mail la réponse à ce petit mystère (Merci infiniment Monsieur Anderson) : « C’est une VRAIE nouvelle édition — c’est parti d’un travail de lissage pour la traduction anglaise, et comme j’étais atrocement nostalgique, je me suis dit que c’était l’occasion de retrouver mon Oscar et replonger dans ses origines (lisez la page de garde, vous comprendrez). L’histoire ne change pas, bien sûr, mais les dialogues sont plus vifs, les descriptions séchées, le rythme est un peu accéléré, quelques nuances dans la structure, bref, j’ai feuilleté un album-souvenir avec émotion et j’ai retouché les photos, j’ai redonné de la couleur aux images, on va dire… Je crois surtout que c’était un prétexte pour retrouver Oscar ! Ce texte sera aussi celui qu’on prendra pour le grand format en cas de retirage. »

Il ne nous reste plus qu’à le relire ! En attendant vous pouvez toujours d’un clic sur le visuel de couverture découvrir la chronique de ce tome I au moment de sa première parution.