Il est le parisien des quatre. Pas de long voyage pour lui, il est déjà presque dans la place. Perché dans l’appartement de ses parents, il attend, terrifié par le cauchemar du dehors, par ce qui l’attend, si il sort… Et pourtant, il va bien falloir sortir pour vivre, survivre.

Dans ce tome, on se retrouve au plus près, peut-être davantage qu’avec Stéphane et Koridwen, des morts, de la réalité des cadavres qui hantent la ville.

La lutte pour la survie, les ados qui ont totalement craqué face à l’horreur et puis, l’amitié, les retrouvailles, l’amour naissant et la vie qui se réorganise d’une façon ou d’une autre.

La même histoire, sous d’autres approches, d’autres angles, avec des parties communes, quatre parties pour arriver au dénouement. Carole Trébor ramène un peu d’humanité dans ce cauchemar éveillé et donne des instants de douceur et de respiration presque hors du temps.