Alors qu’à New-York se prépare le bal annuel des 400, Théodora Van Alen et son intermédiaire Oliver Hazard-Perry sont à Venise à la recherche du grand-père de la jeune fille. Le trouveront-ils ? Si oui, acceptera-t-il de revenir et de les aider ? Détient-il les informations nécessaires ?
            Plus dense, ce deuxième tome prend le temps de s’attarder sur les personnages, leur vie, leurs sentiments, des mœurs des vampires, leur code de lois strictes sont précisés, détaillés. Azraël (lange de la mort) et Abbadon (celui de la destruction) sont de la partie ainsi que de nouveaux personnages comme le mystérieux Kinglsey Martin.
           Alors, familiers, intermédiaires ou vampires tous semblent désormais sous la menace de cette vieille puissance en phase de réveil : les sang-d’argent. Melissa de la Cruz mèle habilement suspens, émotion, références culturelles, mélangeant les genres (du mondes des tops modèles à celui de l’immense bibliothèque du Sanctuaire) et les époques (le livre est émaillé de coupures de journaux du XIXème siècle relatant cette fois la disparition d’une célèbre et riche fiancée Maggie Stanford).
    Sans vous en rendre compte vous vous laissez entraîner par un tourbillon de découvertes permettant la résolution d’énigmes posées précédemment ou épaississant le mystère pour d’autres.
    Plus dense, donc mais tout aussi léger, pétillant et agréable que le tome précédant, de nouveau un vrai plaisir de lecture. La suite ? Elle arrive chez Wiz en juin 2009. Youpi !