Un slasher québécois avec un tueur en scaphandre (oui, en scaphandre, comme celui que porte Tintin dans Le Trésor de Rackam le Rouge), ça mérite d’être signalé. Le serial killer a du mérite, on ne doit pas voir grand chose la tête dans un bocal en laiton, sans oublier que le type doit aussi courir après ses futures victimes chaussé de semelles de plombs. Mais en juger par la bande annonce, le diabolique personnage se rit de ces entraves, il arrive à ses fins et découpe tout le casting pour des raisons qu’on ne découvrira qu’à la vision du film. Bon, je plaisante, mais cette production financée par Boréal Films a l’air d’être une œuvre très soignée. Le Scaphandrier sortira dans peu de temps au Canada, on ne sait rien de plus…