Faris Nallaline n’est pas encore majeure, son oncle règne pour elle sur le Duché du Galazon. Leur entente étant loin d’être cordiale il l’envoie au Collège de Verteloi, en normandie.
Faris va mettre sa scolarité à profit pour se faire des amies, et travailler d’arrache-pied afin de revenir encore plus forte le jour de sa majorité et reprendre les commandes de son pays.
Les trois années au collège se révèlent bien différentes de ses attentes. Faris va découvrir que la réputation d’Ecole de Magie n’est pas uniquement une appellation destinée à attirer les étudiantes fortunées et de bonne famille.
Le retour tant attendu au Galazon réserve bien des surprises à Farris. Elle va voyager à travers l’Europe, à travers ses sentiments et surtout à la rencontre des ses responsabilités.

La première chose qui vient à l’esprit en lisant le titre et le quatrième de couverture c’est la comparaison avec un célèbre apprenti magicien dans un grand collège. L’univers de Caroline Stevermer est loin d’Harry Potter. Ici point de monde secret pour la magie, les sorcières de Verteloi sont connues et reconnues.
Les personnages secondaires sont les plus intéressants, surtout Jane la meilleure amie de Farris. L’héroïne est lisse, l’intrigue courue d’avance, et la fin qui est à la limite acceptable perd toute sa saveur sur les trois dernières pages avec un rebondissement qui n’en est pas un et fleure bon le Happy End obligatoire.
Un roman trop long, trop plat, sans saveur. Tout à fait dispensable.