Les six premières heures de L’HORLOGE – ou ses six premier chapitres – constituent le début d’une quête se déroulant dans un monde qui se laisse entrevoir par des signes: des tableaux symbolistes, des parchemins aux cercles sacrés, des sociétés secrètes, des coquillages géants qui sillonnent les cieux, et beaucoup de livres.
C’est le premier album où nous trouvons les personnages Juanalberto, Vi et Ian, devenus par la suite protagonistes de quasi toutes les bandes dessinées de l’auteur.

Voici une nouvelle édition de l’Horloge paru initialement en 3 volumes il y a 10 ans.
Un grand format et 84 pages couleurs qui vont du noir pour le premier chapitre, jusqu’au violet pour le sixième, en passant par le blanc, l’orange, le bleu et le jaune.
José Roosevelt promène son emblématique canard dans un monde fou et baroque. On y attrape des coquillages qui planent dans le ciel comme des montgolfières, on y vénère un peintre, on s’y écrase sur un chateau. Chaque chapitre est ponctué d’un tableau couleur de toute beauté.
Un ouvrage hors norme dans le monde standardisé de la bande dessinée.