Dans ce deuxième tome, on retrouve Matt Cruse d’abord en stage. Il a intégré l’Académie aérostatique et a été envoyé à bord d’un « rafiot » infernal commandé par un individu du même genre le capitaine Tritus. En affrontant le Poing du Diable un phénomène météorologique particulièrement dangereux, ils vont se retrouver projetés à une altitude inhabituelle et croiser la route d’un vaisseau fantôme de légende : l’Hypérion.
Quelques semaines plus tard à bord du Jules Verne, le restaurant volant panoramique parisien, Matt attend Kate de Vries. Il est sauvé de l’humiliation par le chef Vlad ancien cuisinier fantasque de l’Aurore (voir tome I : Fils du Ciel).
La nouvelle que l’Hypérion a été vu se répand alors très vite excitant toutes les convoitises. Ce navire appartenait en effet à un homme immensément riche Théodore Grunel collectionneur, taxidermiste et inventeur de génie.
Après avoir échappé de nouveau à des pirates, notre jeune héros, Kate et son inséparable chaperon, et Nadira la jeune gitane aux origines mystérieuses vont embarquer à bord du Sagarmatha, un brise-ciel de la dernière génération, capable d’atteindre de très hautes altitudes. Son équipage de sherpas efficace et chaleureux va les emporter loin vers le sud en direction de la Skyberia.
La suite je vous la laisse découvrir. Sachez cependant que vous retrouverez toute cette ambiance d’aventure, de phénomènes et de créatures fantastiques à la Jules Verne. Les aventures de nos jeunes amis sont épatantes et passionnantes. On ne s’ennuie pas une seule seconde. Kenneth Oppel construit un roman dynamique avec des personnages bien trempés, qui évoluent et gagnent en profondeur au fil de leurs aventures, nous ménageant quelques surprises fort sympathiques.
Retrouvez la chronique du tome I en cliquant sur sa couverture