Enfin, le dernier tome de la trilogie de Kenneth Oppel. Vous allez enfin tout savoir sur la fin des aventures de Matt et de Kate et enfin découvrir si leur flirt va aboutir à quelque chose de concret.
Dans une atmosphère à la Jules Verne (malgré les critiques acerbes sur les Français et leurs ambitions : mais nous on s’en moque parce qu’on aime beaucoup vos histoires Monsieur Oppel) toujours aussi bien rendue, retrouvez nos deux amis en pleine construction d’une tour à Paris qui doit rejoindre l’espace malgré les menaces de babélites ; Kate, elle, est en proie aux menaces et à la vindicte de Sir Hugh bien décidé à prouver que la jeune femme n’est autre chose qu’un imposteur.
La proposition d’un riche industriel de participer au premier programme spatial va bouleverser la vie de nos deux héros. On suit avec bonheur leurs premières aventures, la formation difficile à laquelle Matt va participer et bien évidemment, on ouvre de grands yeux sur ce voyage dans l’espace absolument merveilleux ! Créatures fantastiques, rebondissements, drames, jalousies, le retour du chef Vlad du capitaine Walken chers au cœur de Matt, et bien évidemment histoire d’amour.
Des personnages principaux et secondaires cohérents et bien construits, une écriture légère, et facile d’accès sans être simpliste bien au contraire, une histoire pleine de rebondissements et d’inventions particulièrement réussis, le tout pour faire de cette trilogie un très bon moment de dépaysement et de lecture.

Une lecture plaisir à ne manquer sous aucun prétexte et à offrir avec d’autant moins d’hésitations que la série est terminée et que les jeunes lecteurs accros pourront lire les trois tomes d’affilés.

Belle découverte