Pour Pierre Bottero, ce sera Ombe, une héroïne, une fois de plus. Sa vie, ses origines, ses amies, le 13 rue du Horla, immeuble miteux quartier général de l’Association ; Mademoiselle Rose, Walter… les deux têtes pensantes de l’Association.
Ombe déteste la magie et tout ce qui peu s’en approcher. D’autant qu’elle si douée en langue se trouve incapable de retenir les langues essentielles pour les bons sortilèges, le haut-elfique notamment.
Dans sa première aventure, cette folle de moto (un autre point commun avec son auteur) va rencontrer un Elémentaire ; une Créature ; et un troll envouté par un sortilège de soumission.
Les aventures sont palpitantes, on entre de plein pied dans les aventures comme si on retrouvait une vieille connaissance, l’humour, les trouvailles se trouvent à chaque coin de page, les personnages sont savoureux, avec du caractère de l’héroïne en passant par ses amies, ses relations professionnelles ou le troll Erlug philosophe chargé de citer Albert Camus et Cicéron dans la même page.
Un joyeux mélange de magie, de fantasy, d’humour décallé, d’aventures, de références aux séries littéraires ou cinématographiques, qui font de ce Les limites obscures de la magie un excellent moment de lecture, magique et envoutant. Juste de quoi vous donner envie de vous jeter sur l’autre tome si vous avez choisi de commencer par celui-là.

Vif, léger, donnant une impression de facilité qui nous entraine dans une aventure passionnante. A découvrir très très vite.

Ombe elle aussi semble menacée, mais qui donc peut lui en vouloir ? A suivre en 2011, dur, dur d’attendre.

Un roman fantastique drôle et passionnant comme son double : à découvrir d’urgence.
Où que vous soyez Monsieur Bottero vous continuez à nous enchanter. Merci

 

 

Retrouvez le tome I de la série en cliquant sur sa couverture ci-dessous