Courts ou longs, les films baignant dans l’onirisme se prêtent aux délices du décodage, de l’interprétation, voire de la surinterprétation. Amis exégètes, voici Othell’a, séduisant condensé de joliesse sensuelle dans lequel une jeune femme fait la rencontre de son double négatif. La beauté formelle de l’oeuvre, la bande originale éthérée rendent justice à l’implication de la comédienne, du nom de Solweig Lizlow. Le sens de tout cela vous échappe ? Passez-vous en boucle ces sept minutes de métrage en apesanteur, la vérité finira bien par s’imposer…

 

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